Le sort de Bachar al-Assad relance les débats, Moscou exclut toute extradition

Depuis la chute de son régime, le sort de l’ancien président syrien Bachar al-Assad, actuellement réfugié en Russie, suscite de nombreuses interrogations. Une question revient avec insistance : sera-t-il livré aux nouvelles autorités à Damas ?

À ce sujet, le 6 avril, l’ambassadeur de Russie à Bagdad, Elbrus Kutrashev, a tenu à clarifier la position de son pays. Dans une déclaration aux médias, il a affirmé que la remise de Bachar al-Assad n’est absolument pas envisagée, écartant ainsi tout scénario d’extradition.

Le diplomate a précisé que l’ancien chef d’État syrien vit en Russie sous des conditions strictes liées à son droit d’asile. Parmi ces conditions figure l’interdiction de toute activité politique ou médiatique, et selon les autorités russes, Assad respecte pleinement ces engagements.

Cette prise de position russe réaffirme la volonté de Moscou de protéger Assad, tout en évitant toute confrontation directe avec le nouveau pouvoir syrien.

Of course! Here's a polished English version of the textSince the fall of his regime, the fate of former Syrian President Bashar al-Assad—currently residing in Russia—has become the subject of renewed debate. A key question lingers: Will he be handed over to the new authorities in Damascus?

Addressing this issue on April 6, Russian Ambassador to Iraq Elbrus Kutrashev made a clear statement in the media, asserting that Russia has no intention of extraditing Assad, and that such a move is "not an option."

The diplomat explained that Assad is living in Russia under strict asylum conditions, which prohibit him from engaging in any political or media activity. According to Kutrashev, Assad has fully complied with these terms.

This statement reflects Moscow’s continued commitment to shielding Assad, albeit within tightly controlled limits, while also signaling a desire to maintain a balanced relationship with the newly established government in Syria.